Café Salle Pleyel

This is based on a single visit were we only had wine and a snack, so giving it four stars is pretty generous but hey it was nice and the waiters were helpful getting us our drinks and munchies quickly and then sending us off in the right direction towards our section. A nice place to sit down before a concert, only an elevator ride away.

Quand on a le temps
Cadre génial, un des meilleurs du quartier, aussi bien pour un déjeuner d’affaires que pour un déjeuner entre copines. Le service est assez long, donc il faut avoir le temps, mais plats de qualité, endroit à privilegier pour un déjeuner quand on a le temps.

Etrange endroit pour une belle expérience gustative
Entrer Salle Pleyel pour déjeuner, c’est la classe ! Sachez qu’il faut emprunter l’ascenseur sur la droite pour rejoindre le restaurant, ça vous évitera d’interroger le caissier et vous donnera l’assurance d’un habitué ! Il vaut mieux réserver, c’est bondé pour le déjeuner, du lundi au vendredi (d’ailleurs le reste du temps, c’est fermé). La salle est immense, la déco minimaliste mais très élégante. L’ambiance est étrange, style Le Village du Prisonnier… Né me demandez pas pourquoi. La salle est bruyante, mais on entend parfaitement ses comparses de table. Les tables sont espacées, idéal pour un déj pro. Le service est étrange aussi… Presque familier, mais ça passé. Pas de menu, mais une carte très originale et aux tournures séduisantes, élaborée par une guest-​cuisinière différente chaque année. La cuisine est légère, colorée, surprenante et exquise. On né peut qu’avoir envie de revenir tester d’autres plats. Un très bon moment hors des repères habituels. Très agréable.

Quand les sauvageons montent dans les cuisines parisiennes ça peut donner un résultat époustouflant. Le sauvageon en question est un vieux de la vieille, un vrai monsieur qui s’appelle Arnaud Daguin et qui tient à 15 km de Biarritz une auberge contemporaine en face des Pyrénées. Là-​bas, il a tout conçu avec sa femme: des chambres épurées, au petit-​déjeuner salé sans oublier le dîner inventé autour des produits du cru, cuits dans deux fours à bois incroyables. Bref, cette magie, il a réussi à l’exporter vers Paris, dans les cuisines du Café Pleyel. Alors que son poulain Sven Chartier vient d’ouvrir son Saturne dans le 2ème arrondissement de Paris, le mentor Daguin caresse les palais des mélomanes tous les midis. Au menu, tartare de bonite, gratin de courges délicieusement gourmand, un faux parmentier de vraies racines, un vrai-​faux hamburger ou encore un chocolat au chocolat. Une sauvagerie dont on adore la douceur.

colle a la salle pleyel, ce petit café est surtout le point de retrouvaille apres un concert. tres convivial on apprecie d’y commenter les dernieres prestations.