Cet endroit est juste magnifique ! Je l’ai découvert sous un autre oeil le jour de l’UYE de l’elite week(merci Marie B !). Cette promenade longe le canal du midi, pour mener à une adorable petite passerelle, sur laquelle commencent à fleurir des cadenas(comme sur le pont des arts à Paris !). On est bordés par de splatanes, des péniches, la ville se fait un tout petit peu plus calme ici. Que ce soit juste pour se promener, faire un jogging, du vélo, un piqué nique: cet endroit est vraiment top, et très différent du visage habituel de Toulouse ! J’adore ! :)
Colin C.
Classificação do local: 5 Toulouse
D’un point de vue cycliste, le Port Saint Sauveur marque le début du vrai canal. Là où les échappements des péniches remplacent ceux des voitures. Là où il né s’agit plus de traverser des trottoirs ou passer sous des ponts pour assurer la continuité de son parcours, mais juste regarder où pointer sa roué avant pour se faufiler sans dommage entre les piétons. Il y a toujours une bonne raison de passer par là: un footing, une balade, aller faire un foot sur les terrains de Struxiano, rejoindre le grand parc de Cinquante, qui est vraiment grand. Ou alors juste faire du cross sur les bouts de chemin entre la promenade et le canal. Le problème avec ce bout de canal, c’est que si on prend un Vélotoulouse, on dépassé vite la demi-heure gratuite impartie. Va falloir qu’ils songent à installer des bornes le long de la promenade. Ou sur les péniches. Ou qu’il fassent un forfait canal. Je sais pas, moi.
Jean François G.
Classificação do local: 5 Toulouse
C’est une petite promenade le long du canal du midi. A le voir, ce vieux canal tout alangui, juste bon à trimballer des touristes sur ses eaux vertes, on en oublie qu’il faisait la liaison entre l’Atlantique et la méditerranée et que c’est ici, au port St Sauveur, que les péniches venaient accoster, pour décharger ou pour passer la nuit avant de continuer leur périple. Une foule de dockers et de mariniers emplissaient forcément, donc, cet endroit aujourd’hui si tranquille. En longeant le canal, sous les platanes, on admire les péniches. Amarrées là à demeure, certaines servent de spa, de restaurants, de demeures. D’autres, fonctionnelles, transportent des touristes anglais, suédois, hollandais. Sur la droite du canal, on peut apercevoir un ancien chantier nautique, avec ses hangars en briques, ses plans d’eau. En poursuivant la promenade, on parvient au «pont des demoiselles». Ce pont au joli nom est particulièrement hideux, façon années pompidoliennes, c’est tout dire. Il y a quelques temps, en feuilletant un bouquin sur Toulouse, je me suis rendu compte qu’au début du vingtième siècle c’était, tout au contraire un très joli pont avec un nom abominable, «le pont des demoiselles» s’appelait à l’époque, «lo pount de las putas» Et que ces demoiselles, tout comme les mariniers, les dockers et les ouvriers du chantier nautique, participaient activement à la vie du canal du midi.