Bibliothèque Universitaire de l’Arsenal

Ô livres, ô bibliothèque! Ouvre moi tes portes par ce temps pluvieux où le travail m’assaille!
Bön d’accord la BU c’est pas l’endroit le plus propice à la poésie mais poésie me fait penser aux livres et la BU c’est REMPLIE de livres!
Cette Bu est grande! Très grande avec trois étages. Pleins de salles par étages! Franchement une des plus grandes Bu que j’ai vu et surtout avec pleins de places! Pour répondre aux autres avis, en effet il y a du monde, il faut trouver là où ça né parle pas. Facile, montez dans les étages, ils sont réservés à la recherché du coup, moins de monde qui parle. Donc il y a des remèdes au gens qui parlent. Et si vraiment c’est insistant, dites leurs de baisser le volume, que y’en a qui travaille.
Les livres, franchement, ils sont nombreux. Y’en a partout et pour tous. Il y a même des BD et des livres pas forcément axés droit pur.
La BU propose de nombreux services que je découvre petit à petit. Par exemple un rendez-​vous documentaire, pendant deux heures on vous aide sur votre sujet en vous expliquant comment fonctionne mes services.
Les bibliothécaires sont aussi très gentilles et très compétentes. Bien que certains soient pas bon plus adorables.
Bref, je recommande pour travailler, c’est vraiment un lieu studieux et agréable au deuxième étage quand le soleil traverse les fenêtres !

Cette bibliothèque est comme ma deuxième maison !
Je n’ai pas vraiment le choix à vrai dire. Elle m’est indispensable !
C’est le seul endroit où je peux me permettre de chercher dans TOUS les domaines du droit en ayant la certitude que je trouverai chaussure à mon pied ! Le pied !
De plus, plusieurs documentalistes sont à votre disposition pour tout conseil pratique et au vu de la taille de cette bibliothèque il est parfois nécessaire de demander son chemin.
Côté design, c’est relativement moderne et en bon état, même si ça me toujours un peu penser à une usine d’étudiants qui bouillonnent !
Le seul bémol en effet, c’est le bruit, je crois qu’il n’y a pas une seule fois où je nai pas eu à réprimander mon voisin pour qu’il la mette en veilleuse. Si cela vous pose également problème je vous conseille vivement la bibliothèque de la manufacture de tabac juste derrière la fac, à côté de saint pierre, qui a été refaite avec goût et où pas une mouche né vole ;-)

Définitivement travailler dans cette bibliothèque c’est pas mon truc mais il faut avouer qu’elle est bien pratique. Idéalement placée à côté de la fac, elle est grande et très complète côté documentation. L’équipement est moderne et en très bon état. Les documentalistes sont adorables et toujours prêt à renseigner. Pas de tentation contrairement à la maison où la télé m’attire diaboliquement devant des émissions (culturellement) discutables.
MAIS… Que c’est bruyant, ça papote de tous les côtés et c’est pas facile de rester concentrer dans ces conditions, enfin personnellement je trouve ça pesant !
Petit conseil pour les adeptes de la bibliothèque: y aller tôt… Surtout que de plus en plus les étudiants de médecines investissent la bibliothèque de l’arsenal pour réviser leur concours !

Travailler ici c’est… DUR !
Et pas seulement parce que rédiger mon mémoiré est pesant, non non, mais bien parce que l’atmosphère qui règne est désagréable.
J’y vais presque tous les matins, et tous les matins, c’est la même chose: je crève de chaud, j’ai du mal à trouver une place (de un: c’est un vrai labyrinthe, de deux: vous êtes bien studieux vous autre Toulousains, je n’ai jamais vu autant d’étudiants dans une bibliothèque… !) mais le pire de tout, c’est que, quand j’en trouve une, j’ai droit à un regard inquisiteur de la part de la personne assise en face de moi (toute tatouée et pas très bien réveillée, je sais bien que j’intrigue mais bon…)
Les «boxes» de Lyon me manqué affreusement. Il est loin le temps où je travaillais dans ma petite case, une séparation entre la personne d’en face et moi. Là, j’entends tout les petits ragots, je vois les ricanements de mes voisines, et je dois redoubler d’effort pour rester concentrée (et pourtant, j’ai le casque sur les oreilles).
En ce qui concerne les bouquins, il n’y en a pas sur la communication (ou alors pas trouvé…), donc je n’ai pas testé les services même de cette bibliothèque. Mais si je m’y rends, c’est vraiment parce que je n’ai pas le choix et que je tire ma flemme pour aller à celle de Mirail qui visiblement est bien meilleure.
— Et en plus, il est interdit de manger… et ça, c’est horriiiiiiiiible ;)

Elle a vu passer des heures studieuses de mon temps cette bibliothèque. Ouverte tard le soir, tôt le matin et même le samedi, c’est l’endroit que je privilégiais pour venir réviser avant un gros examen.
C’est vrai que le hall d’entrée est très froid, haut de plafond avec des salles repoussées sur les côtés de la pièce. Mais les espaces de travail sont spacieux: grande table, petite lampe, prise électrique avec wifi pour les ordinateurs portables.
Je préférais toutefois m’installer dans les salles à l’étage qui sont un peu plus chaleureuses avec de la moquette au sol et un plafond plus bas. J’aime aussi l’agencement des pièces, un peu en labyrinthe, qui offre plus de possibilités pour s’isoler des gens et avoir encore plus de calme.
A l’étage on trouve également une salle remplie d’ordis, pratique, et des salles de travail fermées pour les étudiant-​e-​s qui viennent travailler en groupe.

On pourrait croire que les bibliothèques universitaires né sont réservées qu’aux étudiants et aux membres de la communauté universitaire, mais il n’en est rien: n’importe qui peut y faire un tour et prendre une carte pour pouvoir emprunter. L’inscription pour les non-​étudiants est de plus de 40 €, mais des réductions sont possibles suivant la situation sociale.
La bibliothèque de l’université du Capitole abrite des manuels, mais aussi des thèses et autres livres sur le droit (pénal, travail, constitutionnel…), mais aussi en sciences économiques, sciences sociales et sciences politiques. C’est le meilleur endroit où aller pour ces questions.
Si on parle du lieu, je né l’aime pas trop. Pour moi c’est un labyrinthe froid, sombre et peu chaleureux. Pas pratique selon moi pour rester y travailler un après-​midi. Après, je crois que c’est une question d’habitude. Venant de l’université du Mirail, je né dois pas être très objective, mais il faut reconnaitre que les horaires d’ouverture sont extra large, même le samedi, ce qui est rare à Toulouse.