Titan club

Plus tout jeune, pas africain mais fou depuis toujours de la musique africaine, pour moi c’est la meilleure boîte africaine de France! Soirées inoubliables a ecouter un répertoire que l’on entend jamais ailleurs, et en tres bonne compagnie!

Un tour de plus dans cette boîte bien connue des afros de la capitale m’invite à en laisser un avis…
Samedi dernier, anniversaire de la soeurette: 21 ans, ça se fête! Allez hop direction le Titan Club, à plus de 3h du matin!
Nous étions nombreux, mais on avait prévenu donc direction les tables à disposition avec boissons pour désaltérer le gosier entre deux pas de makossa ou d’azonto!
Mais même d’autres fois en occasion moins spéciale, je n’ai jamais eu de problèmes à rentrer dans cette boîte. Donc habillez vous pour briller et sur la piste, allez secouer!
La salle est vite petite avec le monde mais qu’à cela né tienne… C’est à qui roulera le plus des hanches et du bassin!
Là où je suis en parfait accord avec Jeanne A., c’est que le style musical est résolument afro: que ce soit rap US ou afrobeat, en passant par le coupé-​décalé ou le zouk, il vous faudra nager dedans ou couler!
Ça peut être même très pointu: j’ai pu entendre toute une session de musique sénégalaise jamais parvenue à mes oreilles avant cette soirée!
Ainsi, elle n’a pas tort de préciser que si vous avez peur de «dégamer”/sortir du ryhme, il vaut mieux rester à l’entrée avec ses complexes. Mais si vous voulez bien les abandonner au vestiaire et découvrir la musique africaine dans toute sa diversité, venez! On va s’ambiancer ;)

C’est le club Black mythique de la capitale. Le haut lieu de la diaspora africaine qui vient s’encanailler ici tous les week-​ends. Pour autant tout le monde est le bienvenu ici sans considération de faciès et de couleurs de peau. Sauf si bien-​sûr vous n’aimez pas les rythmes africains, le zouk ou le r’n’b be auquel cas il faudra passer son chemin sans ambages. Idem si vous avez peur de vous sentir ridicule à côté de ces Beyoncé bis qui ont pour le coup vraiment le rythme dans la peau à côté de vous pauvre créature. Et c’est le sentiment que j’ai eu à vrai dire la seule fois où j’ai atterri ici.