Classificação do local: 4 Mairie du 18e/Lamarck, Paris
Cela fait 1,5 ans que la cave s’est installée dans mon quartier et je viens tout juste de la découvrir ! Les jeunes propriétaires sont accueillants et arrangeants. Ils ont un large choix de vins. En revanche pas de 50 cl et je n’ai pas vu de carte de vins au verre. Mais il est bien sûr possible de repartir avec sa bouteille si elle n’est pas terminée. La mixte à 12 euros est très bonne. Les produits sont de qualité et pour le même prix elle est bien plus copieuse que celle des comestibles au 65 rue du Mont Cenis. En revanche la lumière et donc l’atmosphère est moins chaleureuse à la cave qu’au Comestible. Je recommande vraiment si vous habitez dans le quartier !
Maxime F.
Classificação do local: 5 Paris
Dans beaucoup de disciplines, le sens du placement est un vrai atout. En matière de gastronomie aussi. La preuve: un an après mon arrivée dans le quartier, La Cave Marcadet vient d’ouvrir à 50 mètres de chez moi. Et cet endroit à vraiment tout pour me plaire. D’abord l’ambiance. Des grandes tablées(comme ils le disent si bien eux-mêmes), où on se retrouve vite à discuter avec ses voisins, voire à se faire goûter nos pinards respectifs. La salle est grande mais les proprios ont voulu qu’on y ait de l’espace: du coup on n’est jamais plus d’une petite quinzaine. Ensuite les produits. L’idée était de faire une cave à manger qui soit aussi une épicerie fine. En gros, vous pouvez rapporter chez vous tout ce que vous goûtez sur place. Et il y a de quoi être tenté: sur les planches à 12 euros, on trouve en vrac jambon Serrano de Grenade, saucisse sèche de Canard d’Auvergne, Cantal très vieux ou Comté 27 mois… Toutes ces merveilles(mais oui!) sont dispo à la coupe pour des prix vraiment raisonnables. Niveau cave à vins, beaucoup de références et, pour ce que j’en ai goûté, que du très bon. Notamment dans les 12 – 13 euros avec un Morgon côte de Py ou Bourgogne aligoté super sympas. Sur place, le droit de bouchon est carrément honnête(ce serait même le moins cher de Paris, je n’ai pas vérifié) avec 6 euros pour les bouteilles de moins de dix euros, et 5 euros au dessus. Pour finir, les chefs n’en seraient pas s’ils né nous avaient pas réservé quelques petites surprises. La première c’est la très rare huile d’olive sicilienne Ollio, que je né trouvais jusqu’à présent qu’à la Grande Epicerie du Bön Marché(au prix de laborieuses excursions semestrielles dont je me passerai sans regret): à essayer absolument. La deuxième c’est un certain Tripoux du Père Martin(ou un truc du genre) qui, je le sens, va me faire de l’oeil tout l’hiver. A moins que ce né soit moi, qui lui fasse de l’oeil. En tout cas, on va s’entendre.