Les Rencontres d’Arles Photographie

Je marche dans les pas de Camille L ! Moi aussi j’adore y aller l’été, quand j’y passé dans ma tête c’est le signal des vacances !
Ca faisait au moins 3 ans que je n’avais pas pu y aller, mais heureusement cette année j’ai fait un saut par Arles, et découvrir cette jolie ville de Camargue ainsi, c’est idéal.
Parsemé dans la ville, de nombreux lieux sont aux couleur du festival, on arpente les ruelles, on tombe sur une expo, c’est assez magique.
Je vous conseille aussi le Pass mais il faut tracer pour tout faire dans la journée, il donne accès à tout.
Des grands noms de la photo y sont exposés, mais aussi des artistes moins connus et de jeunes talents. Cette année, l’Afrique a été bien représentée, avec des photos de grande qualité, et des collections complètement étonnantes.
Un détour estival à faire !

Les Rencontres d’Arles, ça faisait longtemps que je voulais faire ce festival de la photographie. Je me souviens très exactement comment j’ai découvert son existence, par un article de Camille d’Essayage publié sur son blog et qui m’a donné envie d’y aller. Puis cette année, sans vraiment le programmer, j’ai organisé mon petit week-​end à Arles à la dernière minute. Et c’était drôlement réussi, comme mini-​vacances ! Du festival lui-​même (juste génial) en passant par la ville d’Arles, les petits restos, la chambre d’hôtes, l’accueil et le temps !
Le festival était un énorme coup de coeur et aussi un choc culturel pour moi. J’adore la photo, autant de faire que d’admirer le travail des photographes professionnels, je trouve que c’est un art à part entière. Justement, aujourd’hui, à l’heure où la photo est accessible à tous et que n’importe qui peut s’offrir un bel appareil (enfin s’il a des moyens), de vrais photographes se distinguent par leurs talent. Et pour moi le talent consiste surtout à trouver une bonne idée et à avoir un bon oeil car appuyer sur un bouton de l’appareil, tout le monde sait faire. Ce talent, cette capacité de capter un moment d’émotion intense, de créer une image qui me fera réfléchir, me fera me poser plein de questions, m’apprendra, m’émouvra, c’est ça qui me fascine en photographie.
Les Rencontres d’Arles, c’est jusqu’au 22 septembre, allez-​y que vous soyez un amateur de la photographie ou pas tant que vous êtes un minimum sensible à l’art en général.
Prenez des forfaits journée ou toutes explositions si vous né voulez pas vous arrêter à 2 – 3 expos (une expo se fait en 30 min, 1 heure maximum)

5 étoiles moi aussi pour un de mes festivals d’été préférés ! Cela fait déjà plusieurs années que c’est notre rituel avec Mister B, nous passons au moins 2 jours en Arles pour profiter de la ville, du soleil (qui semble constant — comme le vent et les moustiques) et des expositions photos.
Un pass à 35 € pour accéder à toutes les expos, et nous voilà partis, réflex au coup pour moi, pour une déambulation entre les différentes expositions, dans des lieux tous aussi géniaux les uns que les autres. Anciens cinémas, églises désaffectées, cloître, anciennes usines… D’année en année, on aime plus ou moins les photos et l’agencement des lieux, mais cela reste un évènement qu’on né raterait pour rien au monde, une cure de soleil et de culture !
Bref, que dire de plus? Vivement cet été !
Notez qu’en deux jours, on doit quand même faire les expos un peu au pas de course par moment et on en arrive à rater des lieux, plus excentrés, donc je vous recommande 3 jours pour prendre votre temps et bien en profiter ! Inutile par exemple d’essayer de faire les Ateliers ET le centre-​ville en une journée, vous risqueriez l’indigestion !

Quel plaisir que de découvrir Arles la sublime à travers les expositions disséminées à travers la ville… On déambule dans les petites rues pittoresques et on s’arrête dans une église, un musée, une maison où un artiste a installé ses clichés pour quelques semaines. C’est une autre forme de tourisme, plus tranquille, moins traditionnelle. Les monuments sont l’écrin des photos.
Prévoir au moins deux ou trois jours pour tout voir: par exemple, une journée pour les expos en ville, une journée pour celles des grands ateliers (situés à 10 minutes à pied du centre-​ville).

«Les Rencontres», c’est avant tout pour moi la découverte d’Arles qui est une petite ville vivante, charmante, animée et dans laquelle on se sent bien. Les touristes y sont d’ailleurs très bien accueillis, même en affluence pendant le festival.
Pour accéder aux expos, plusieurs options :
27 € pour la journée (accès à toutes les expos)
35 € pour toute la durée du festival, (accès également à toutes les expos)
8 € en moyenne par exposition.
Évidemment, vue la quantité pharaonique de choses à voir, je conseil la version à 35 € sur une durée de 2 jours minimum.
Les Rencontres sont réparties sur deux espaces.
Le centre ville d’Arles, où l’on trouve des expositions dans casiment tous les lieux emblématiques et chargés d’histoire (Palais de l’Archevêché, Hôtel, Cloîtres, Églises…).
Les Ateliers Mécaniques: C’est là où se trouve la plus grande partie des expos. Cette ancienne friche industrielle, accessible en 10 minutes à pied du centre ville, compte 4 énormes hangars: expositions, vidéos, librairies, café et espace détente…
Le seul problème de ces Rencontres? Les expositions sont tellement bien conçus, les artistes tellement talentueux … qu’à mon avis, il faut bien plus de 2 jours pour tout voir…

«Les Rencontres d’Arles» ou effectivement si vous êtes passionné de photographie, vous connaissez déjà, et si vous né l’êtes pas, vous devez vous y rendre !
Un de mes «Immanquables» de l’Eté, avec le F.I.D. et le Festival de Marseille. Pour moi, le Trio gagnant !
Plus de 40 ans que cette manifestation existe et tellement d’Artistes sont venus ici, tellement ont été exposés, que la liste serait sans fin.
Pour être une Afficionada des Rencontres depuis des années, j’ai vu celles-​ci évoluer, et c’est vrai que désormais Arles ouvre la plupart de ses lieux historiques aux expositions, et c’est assez grandiose. Comme Avignon, il y a le «In» et le «Off». Toute la Ville bat au rythme du Festival et la première semaine, du 4 au 10 Juillet, vous pourrez rencontrer tous les participants.
Cette année, plus de 60 expositions et le Mexique à l’honneur !
Moi, j’aime bien y aller un peu après, quand c’est un peu plus calme.
Prenez un pass pour la journée, et si vous êtes sans emploi, RMI ou ASS, sur justificatif, vous né paierez rien.
Gratuit aussi pour les enfants et les miens m’accompagnent à chaque fois !

Les rencontres d’Arles, c’est un peu la Mecque de tous les photographes… Une fois par an, au mois de juillet j’y vais faire mon pèlerinage… J’adore cette manifestation où la ville se met en quatre pour accueillir partout des expositions, dans les galeries, les musées, les lieux public. J’aime voir les églises ou chapelles réinvesties à cette occasion. Les rencontres d’Arles, c’est aussi une manière de revisiter la ville et ses différents monuments, de flâner dans la fraicheur de l’histoire tout en admirant la production de tel ou tel artiste. Une mention spéciale pour le Parc des Ateliers, où le gros des manifestations se produit. Cette immense propriété dans le centre d’Arles appartient à la SNCF, hangars et terrains aujourd’hui dédiés au culturel. La SNCF est d’ailleurs partie prenante de l’organisation des rencontres. Ce site me fait penser à la Friche Belle de Mai à Marseille, c’est le même esprit. Alors assister à des expos, rencontres, nuits de la photo là-​bas c’est assez magique. La première semaine des rencontres est pour moi la plus intéressante, car on peut y rencontrer les artistes. Mais elle dure tout l’été donc on peut toujours trouver un moment pour aller voir les expos: acheter un pass pour la journée qui donne accès à tous les lieux, et laissez vous envahir par les images…

Oui oui oui, Arles est un peu le must en matière de photographie. Je souligne et soutiens tout particulièrement le «OFF»: les galeries qui «montent» des espaces temporaires dans les vitrines vides du centre ou qui envahissent la semaine d’ouverture entre autre (mais surtout) d’évènements nocturnes gratuits.
A Arles la première quinzaine est la plus «vivante»: les projections du Off sont de très bonne qualité, les lectures de portofolio et les «conférences», les soirées organisées dans la friche ferroviaire, les stages réalisés avec des photographes reconnus, tout y fait qu’il y a plus qu’une suite d’exposition.
Toutefois, il m’est arrivé d’y aller au mois d’août et pas de soucis: on reste dans une ambiance tranquille, Arles est aussi une ville charmante, et voir les expositions sans la «hâte» du «début», c’est autre chose.
Dans les deux cas: une halte ressourçante en matière de photographies, que l’on aime ou pas le côté «IN», un passage permet toujours de se repositionner.
A noter: il y a des campings pas trop loin du centre vilel. Celui des Rosiers est mon favori: il y a une piscine et quand il fait CHAUD (ce qui est assez courant), je dirais que c’est un must.

Amis photographes, vous devez déjà connaître les fameuses journées des Rencontres d’Arles! Ceux qui né connaissent pas: courrez-​y ! Chaque année, en Arles, se déroule un festival de photographies: expositions, workshops, rencontres avec les artistes, ateliers… un vrai bon moment.
Accessibilité, professionnalisme, de très belles photos exposées, des thèmes qui diffèrent chaque année et qui laisse place à la réflexion et parfois à polémique, j’adore y aller… je bloque tout direction Arles pour la journée, et j’en prends plein les yeux.
Sarah Moon, Gursky… des photographes espagnols, italiens, serbes, il est appréciable de faire un tour de ce qui se fait et de pouvoir approcher les artistes! Un excellent festival !!

A venir voir pour tout passionne de photos.
Mais évitez de vous promener avec le plus gros appareil photo possible autour du cou, le badge de visite a cote, c’est un peu ridicule.
D’autant que ce n’est souvent pas la meilleure période ni la bonne heure pour avoir une bonne lumière !
De très nombreuses expos dans des lieux très sympa qui permettent de visiter Arles autrement.