Beurre Noisette

Nouveau resto gastronomique de jeunes artistes culinaires, Beurre noisette, comme son nom l’indique, décline une cuisine riche et goûteuse en une variété de textures et saveurs qui vous surprendront. Je n’y vais pas souvent car le prix est conséquent mais il vaut toujours le voyage des papilles si vous avez un événement à fêter, un dîner en amoureux ou si vous voulez tout simplement déguster des mets raffinés. J’ai pu y tester un amuse-​bouche «granité d’huître sur crème vanille bourbon» qui m’a littéralement déboussolée tant ce goût inconnu fût une rencontre vénérable et inoubliable. J’y retournerai aussi pour son ris de veau, sa sauce, et ses légumes croquants à la combinaison juste parfaite.

Chouette adresse découverte près du Châtelain. Il y a tellement de bons restos dans le coin que cela donne le tournis. Cette fois-​ci, c’est au Beurre noisette que nous nous sommes arrêtés. L’endroit suffit à me convaincre. On sait bien que le plaisir dans l’assiette est celui qui compte le plus mais quand le cadre est aussi agréable, on né va pas se plaindre. On se trouve dans un endroit qui a du cachet, une décoration soignée et artistique. Quand je repense à l’atmosphère du resto, je pense au Jazz.
On a tenté le lunch et il était excellent à un prix raisonnable: 16 euros pour une entrée (risotto au céleri), un plat (boeuf simmenthal) et un café. Les portions étaient raisonnables, on né ressent pas le besoin de déboutonner et on a même de la place pour un café ou un dessert.

Mardi soir. 2 couples. Il pleut.
Refuge dans cet antre aux couleurs vanille et chocolat. Une multitude de cadres orne les murs et nous tient compagnies.
Première décision: le Pic Saint-​Loup.
Souple, il délie les langues. Puissant, il agit comme un révélateur. Ma copine reconnaît être déjà venue et avoir dansé sur les tables quand les derniers clients étaient partis. D’ailleurs le serveur l’appelle «Tina Turner» quand il vient prendre nos commandes. Tout va bien.
Entrées: Deux crèmes de châtaignes pour les mecs, une croquette aux crevettes grises, poireau à l’estragon, crème Issigny et un feuilleté de figues au basilic et chèvre frais pour les filles. A la surface de ma crème, flotte une poêlée de cèpes merveilleusement imbibés. C’est le moment que choisit l’autre couple pour nous instruire sur le parcours français du chef Grégoire de Backer. Un nom sort parmi d’autres: Yves Mattagne.
On partage les assiettes. La figue appelle le vin. On grimpe le Pic.
Plats: deux lieux noirs pour les mecs. La petite blague du serveur: «Vous êtes au bon endroit» né paraît plus du tout ridicule quand la chair subtile partage la fourchette avec une mirabelle juteuse. Les asperges vertes et le chutney de tomates donnent deux directions supplémentaires. Une série d’accouplements possibles…
Blanc de Seiche, en face, triomphant au sommet d’un ragoût coco de Pompol, petit salé et croûtons. En diagonale, un risotto. Si. Cèpes, céleri rave et noisettes. Le retour des cèpes, écho apprécié dans ce festival de découvertes. Un ami à un vernissage.
Au sommet, le Pic Saint-​Loup était parfait. Il fallait au moins la hauteur de cette montagne du Languedoc-​Roussillon pour apprécier la personnalité bistronomique du chef.

Excellent! Samedi midi c’est plat unique: boeuf frites. Le boeuf est goûteux et les frites croustillantes. Compris dans le prix, un verre de rouge très correct. Un adresse à recommander. Végétariens s’abstenir !

Être fan difficile de le dire après seulement une expérience mais cette expérience fut réellement très plaisante. Cadre approprié pour un diner en tête à tête, menu de très bonne qualité et très fin. Ce n’est pas donné sans être trop excessif mais cela semble normal pour de la qualité. Je recommande!

Quelle belle découverte que ce nouveau Beurre Noisette! Malgré l’avis mitigé d’Annabelle B., nous avons décidé de quand même tester ce nouveau resto. Et je n’ai pas été déçue! Cadre polissé, ambiance feutrée et plats exquis du début à la fin. Tout d’abord amuses bouches délicieux. Ensuite mon plat, une volaille d’une extrême finesse et son risotto aux morilles fondant à souhait. J’en reviens toujours pas! Ensuite le dessert, également à tomber. Ils proposent aussi un menu, imposé pour la table, qui me semblait être d’un très bon rapport qualité prix. Le service né m’a pas posé de souci, mais il faut dire que c’était en semaine.
Je recommande vivement ce resto, pas donné mais qui propose une cuisine franchement délicieuse et soignée. idéal pour les petites et grandes occasions!

Une bonne nouvelle à célébrer, nous avons réserver une table dans cette nouvelle (quelques mois maintenant) adresse bistronomique ixelloise ! Malgré les avis parfois en demi-​teinte sur Unilocal,il fallait bien leur laisser leur chance non? Quelle riche idée nous avons eu.
La déco est belle et soignée: j’aime les petits cadres aux murs, les ampoules «filaments», mais aussi les fleurs dans les WC… c’est les petits détails qui font la différence, on le dira jamais assez.
Passons au menu: vous aurez le choix entre différentes entrées, aux prix variants entre 15 et 20EUR environ. Comptez entre 22 et 30EUR pour les plats principaux. Rien qu’a lire les intitulés, j’en ai l’eau à la bouche. Il y a aussi un menu unique, le «bazar», qui varie en fonction du marché et de l’humeur du chef. 2 options ici, avec ou sans vin (39 ou 57EUR si mes souvenirs sont bons).
Ma copine choisi la volaille, et pour une fois, tenez vous bien, je né choisi pas le filet pur, mais bien le magret de canard cuisson rosée, oui oui, vous avez bien lu… d’humeur aventurier ce soir ! Les 2 plats étaient dé-​li-​cieux. La volaille tendre à souhait, et sa farce goûtue, quant à mon canard, cuisson nickel, petit légumes très justes, le tout servi sur une lamelle de melon, donnant à l’ensemble une dimension sucrée-​salée originale. Si je devais faire une seule remarque, elle concernerait la quantité.un peu juste pour un gaillard comme moi.
Je termine cette douce soirée avec une mousse au chocolat blanc, dont le goût chocolat aurait pu être plus prononcé.
Service charmant et aux petits soins, mais qui devrait être renforcé pour les soirs de fin de semaine… une seule personne pour la salle et le bar, c’est un peu juste.

Fantastique restaurant dans le quartier du Châtelain qui surfe sur la tendance Bistronomie. Gourmand, goûteux et soigné. On est ressorti conquis.

Je trouve les commentaires précédents, et les notes les accompagnant, un peu durs, du coup, je vais essayer de compenser, même si je né suis pas 100% convaincu non plus.
Il faut dire que j’avais de très hautes attentes. Les derniers échos que j’avais de l’adresse étaient plutôt excellents, et je m’attendais donc à l’excellence.
Je note que beaucoup de points négatifs cités concernaient le service, que j’ai justement trouvé plutôt bon. Parfois quelques petites erreurs (par exemple, apporter un peu trop lentement les sauces pour les plats, qui ont donc été entamés avant de se voir arrosés), mais plutôt chaleureux et sympathique, et le rythme était bon.
Mes doutes se portent plus sur l’assiette, malheureusement. Non pas par manqué d’idée, mais par manqué du «je né sais quoi» qui fait passer un plat de «bon» à délicieux. En l’occurrence, tout était bon (nous étions 4, et nous avons testé 4 entrée/​4 plats/​4 desserts différents), mais rien né nous a réellement marqué. En amuses-​bouche, le consommé de boeuf avec petits légumes n’avait pas d’intérêt, et le risotto en croquette un peu trop discret. En entrée, la tartiflette revisitée (un choix risqué, je l’admets), bonne, mais très classique, au final. Le plat, steak de thon, légumes et foie poellé était plus convaincant, et fort copieux. Sans arriver à m’exciter vraiment néanmoins.Après un pré-​dessert sous la forme d’une mousse de manqué franchement bonne, le dessert «Tout chocolat» était assez réussi, avec du chocolat en différentes textures pour un résultat assez classique quand même.
Pour le vin, le rouge léger choisi nous a bien plu, mais difficile de faire un commentaire particulier sur le sujet…
Quand au lieu, si on passé au-​dessus de la population «Châtelain» (ma voisine en fourrure portait un horrible mini-​chien chauve-​souris sur elle pendant son repas, et s’est plaint que je secoue la jambe, ce qui faisait vibrer le banc où elle était assise), la déco est plutôt réussie dans un style assez «industriel» et dépouillé. Pas original pour un sous, mais j’aime bien quand même!
L’addition, si on prend les 3 services à la cartes et raisonnablement du vin (2 bouteilles à 4, plus 2 verres à l’apéro/pousse) + un café, s’élève à 75 euros par personne. On est quand même dans une gamme de prix pour laquelle j’espère être vraiment conquis en sortant. Ce n’était pas le cas, même si dans chaque plat, on sent le potentiel. Du coup, je me garde l’adresse au coin de la tête, en espérant y retourner prochainement pour y être totalement conquis!

Petit restaurant sympa.
Le service est souriant et agréable (clairement plus élevé que la moyenne bruxelloise) — même si une des serveuses est un peu plus gauche.
Les plats sont bons mais pas merveilleux outré mesure. Et les prix sont — à mon gout — un peu surévalués (22 – 27 € le plat).
Néanmoins, ce n’est pas une mauvaise adresse et j’ai passé une agréable soirée.

Un emplacement de rêve, un cadre pas fou mais dans des tons chauds, un mobilier de bonne facture et un menu engageant, les augures semblaient unaniment indiquer que la soirée allait être marquée du sceau du bon goût et de la chouette découverte. Patatras, malgré toute la bonne volonté et l’évident souci de bien faire dont le resto transpire de partout, le repas a été ponctué de fausses notes plus regrettables les unes que les autres.
Nous avions opté pour un dîner à la carte, l’énoncé du menu né nous ayant pas séduits (3 services pour 38 € –aucun des plats proposés dans ce menu né figurant à la carte-​). En outré, le restaurant n’était pas rempli (10 couverts environ), et nous nous étions dit, un peu naïvement peut-​être, que ce serait le gage d’un service soigné.
Une mise en bouche composée d’une crème de céleri rave et d’une salade de quinoa très simple, sans vrai relief, fut suivie d’un ‘croustillant de canard’, sorte de nem farci de chair de canard confit bien trop sec, et dont l’accompagnement, une poêlée d’oignons nouveaux, d’herbes fraîches et de mangue (à chair pâle et insipide), souffrait d’un excès d’huile fort désagréable. La sauce soja-​miel-​sésame, servie en trop grande quantité dans un bol, m’a permis de faire glisser le tout sans trop d’effort, au prix toutefois d’une saturation de sucre.
M’a ensuite été servi comme plat de l’omble chevalier (erronément désigné sur la carte –et dans l’annonce du plat au moment du service– comme de l’omble DE chevalier –le genre de truc qui m’agace) qui est arrivé presque cru. Fort heureusement, l’assiette était tellement brûlante que j’ai pu terminer la cuisson en déplaçant le salmonidé d’un coin à l’autre de celle-​ci. L’accompagnement était servi en verrine. Il s’agissait d’une sorte de salade de blé, ou d’orge, qui ressemblait assez fort à la salade de quinoa reçue en amuse-​bouche. Sans relief donc.
Le dessert né fut pas non plus à la hauteur, mais à ce stade du repas je n’avais plus beaucoup de doute à cet égard. Me fut servie, une part de ‘mousse de mangue (tiens tiens) et cacao’, une sorte de bavarois dont la seule chose positive que je puisse dire est qu’il n’était pas trop sucré. Pour le goût, il reste à déterminer.
Mon compagnon de table avait quant à lui opté pour du couteau en entrée, un tronçon de sole en plat et un assortiment de fromages à la place du dessert. En espérant né pas trahir ses propos, il m’a dit de l’entrée qu’on avait du mal à s’y retrouver, du plat qu’il n’avait rien d’exceptionnel et des fromages il né m’a pas dit grand chose, pas plus que la serveuse d’ailleurs qui dans un moment d’égarement a omis de lui indiquer de quels fromages il s’agissait.
Pour le vin, nous avons tenté la formule au verre, avec à la barre la serveuse susmentionnée. Les vins n’étaient pas désagréables, mais leur accord avec les plats m’a laissé assez songeur. A titre d’exemple, je me suis retrouvé, avec le dessert, avec un verre de viognier…
Ce qui nous a le plus touché dans cette mésaventure, ce n’est pas d’avoir déboursé 75 € chacun pour un dîner qui en valait 40 a tout casser –et sous réserve d’amélioration sensible du niveau de justesse et de service. Non, ce qui nous a touché, c’est qu’en donnant les explications qui précèdent à la serveuse, nous avons senti que derrière ce fiasco, il y a un véritable projet et un véritable souhait de faire les choses bien. Il y a encore un petit bout de chemin à faire, mais le chef né manqué pas d’inspiration. Tous les espoirs sont donc permis.

J’y vais le midi, plat du jour et formule lunch imbattables. Jamais deçu par la cuisine, et la jeune fille en salle hyper souriante (et parfois un peu débordée car seule, mais ce n’est pas trop grave). Je conseille fortement! C’est ma nouvelle cantine du midi!

Samedi soir «vollen bak» comme on dit à Bxl, mais accueillis avec le sourire dans ce nouveau resto, ma foi cosy. La déco black and wood est assez masculine, on sent que ce sont des hommes à la baguette.
Menu entrée-​plat-​dessert d’inspiration du chef (intitulé «Bazar») avec… du couteau! Waouw, ça ça m’épâté! Et de l’agneau de lait… Great! On tente à l’aveuglette avec les 3 verres de vins qui vont avec.
Le problème: le service. Les serveuses sont serviables, souriantes, sympas MAIS on né sait pas ce qu’on a mangé! Aucun descriptif, aucune mise en scèné qui t’épâté (on est un bistronomique ou on n’est pas!)
Les assiettes avaient beau être très bien présentées, les serveuses n’y connaissaient rien! Malheur au restaurateur qui né soigné pas son service… Cerise (s) sur le gâteau: couverts à retardement (alors qu’on bave devant notre assiette qui refroidit), verre de vin sensé accompagner l’assiette servi sur notre demande, après avoir fini les assiettes…
Bref, le désastre en salle alors qu’en cuisine, on doit probablement essayer de faire son maximum.
Dommage, dommage… Il y a du boulot, mais de l’espoir!

Une déco qui, quand le resto est encore vide, comme c’était le cas quand j’y suis entrée, né donnait pas trop envie de s’asseoir… Un peu trop vide, un peu trop froid et surtout, un personnel qui vous fait bien comprendre que vous êtes là un peu trop tôt! (merde, il est seulement 19h30 !)
Bref, un a priori bof… Et un service qui continue sur la même note: genre, sourire glacial.
Par contre, mention spéciale pour les entrées… Croquettes crevettes ET saumon cru sont Dé-​Li-​CIEUX… Le vin aussi, était plutôt bon…
je n’ai pas top appércié mon plat: du pigeonneau à peine saisi, avec des accompagnements franchement trop cuits…
Ce sont les entrées qui font monter le rating… A elles seules, elles valaient 5 étoiles. Mais ça né suffit pas malheureusement pour faire un bon resto…
Je précise que mes compagnons de tablée ont vraiment bien mangé, du début à la fin…
Il faudra donc RE-​TESTER…