Pellas

Un chouette petit grec pas loin de la maison ça fait toujours plaisir.
Une entrecôte plus longue que l’assiette, un youvetsi rempli de morceau d’agneau, une entrée mezze si grande que je pense qu’il n’ont pas compris le sens du mot «entrée»,… Vous l’aurez compris Le Pellas né vous laissera pas sur votre faim. Qui plus est le goût est excellent.
Seul nuage dans le ciel pour nous cette fois la c’était le temps d’attente entre les plats et même tout simplement avant que le serveur (gentil au demeurant) daigne nous regarder pour voir si l’on désire encore quelque chose.
J’y retournerai donc pour voir si c’était juste un jour ou ils étaient fatigués ou si c’est une habitude pour eux qui n’est pas très chouette pour nous.
D’ici la prochaine fois, bon appétit a vous.

Accueil formidable
Personnel surtout le patron se coupent en quatre pour vous satisfaire
Offre avec plaisir le pousse
Quant aux prix tout simplement imbattables quant on compare prix qualité
Attention le we c est plein car à Berchem c est pour moi le meilleur grec
Bön appétit

Quand j’ai envie de me gaver de Youvetsi et de me peter au retsina, c’est direction Pellas. Que dire à part que leur rapport qualité-​prix (et quantité) est juste aussi alléchant que leur plat … et ce dans un cadre aussi chaleureux que familial. De plus, attendre mon plat en grignotant, que dis-​je, en noyant des morceaux de baguette dans du tzatziki c’est déjà le début de mon paradis !

Les super restaurants, on les reconnaît à la qualité de leurs plats, évidemment, mais aussi à la gestion de leurs «crises».
Notre soirée au Pellas aurait pu partir en vrille très facilement. Déjà, c’est peu dire que je n’avais pas envie de sortir de chez moi. Mais soit, on fait plaisir au chéri et on sort de sa tanière. Arrivés sur place, notre table n’est pas prête, on doit attendre une (grosse) demie heure avant de pouvoir s’assoir. En soi, ça aurait pu me faire faire demi-​tour, sauf qu’on nous a installés dans un fauteuil confortable dans le lobby, avec magazines, etc., et surtout, l’apéro offert par la maison.
Une fois à table, les plats sont simplement délicieux. J’ai mangé une assiette de crevettes «crispy» parfaite.
Puis on a demandé à nous changer de table car un grand groupe arrivait. Ca aurait pu être pénible, mais avec le dessert (un sabayon gargantuesque) est arrivé le digestif du patron. Attention sympathique.
Bref, pour deux nous avons pris plat + dessert, + ½ bouteille d’eau pétillante, +½ bouteille de retsina et nous avons royalement payé 47,50 euros…
Le Pellas, j’y retournerai donc les yeux fermés !
Mais pensez à réserver, on s’y bouscule, à raison.

Encore un de ces restaurants grecs me direz vous… et bien NON, je dis NON.
deja quand on entre dans ce restaurant, on commence par etre impressionner par ce tres bel escalier qui vous mene au premier étage de la batisse qui se trouve etre la salle de restaurant (ca tombe bien, on avait faim).
Le bar sur la gauche vous tend les bras mais le serveur a vite fait de vous accueillir et de vous trouver une table (je vous conseille quand meme de penser à reserver)
Une fois assis, on se demande vraiment si on est chez un grec, car la déco plutot minimaliste, né le laisse que tres peu sous entendre (et j’aime ca le subtile). Oui il y a bien la musique comme fond sonore et l’agitation caractéristique des gens de la mediterannée qui vous rappellent que vous n’etes pas dans un resto asiatique?
Autre caractéristique de ces gens du sud: ils sont chalereux et dans ce cas ci ce n’est pas peu dire…
Coté cuisine, evidemment là on né peut pas loupé qu’on est dans un resto grec. feta, mezze, tsatziki, tarama, brochette juvetsi et autres vous attendent. Mais attention aux gourmands tout est tres copieux.
Hier pour notre passage nous n’avions demandé qu’un plat principal (steak grillé pour moi, brochette maison pour madame) et nous en sommes quand meme sortis repus.
Coté prix, tout est ok, pas de surplus ni de sous estimation. prenons le repas d’hier, deux plats de viande accompagné de pates grecques et/​ou de frites + 4 softs = 34,50 € ou 17,25 € pp
Honnête, n’est il pas?
Vraiment une de mes belles découvertes de l’année ²⁰¹¹⁄₂₀₁₂ (voici les restes de mes années à l’école, je parle encore souvent d’année scolaire.)
Sur ce, bon sirtaki!